vendredi 30 septembre 2011


This is the end...

Parce que Michell nous a laissé des messages, parce qu'il fait beau à Paris... Nous sommes dans l'obligation de prendre le prochain Rio-Paris (je sais pas pourquoi mais ça sonne pas bien ça...).
Lors de ce voyage, Olive a gagné en maturité c'est certain. Maintenant il mange des piments comme des chamallows, la preuve :




Imperturbable...
Et alors question conduite il pourrait en apprendre à Ayrton Senna !... Oui, enfin bon, au moins Olive évite les murets :)
  Copacabana en chevrolet


Bon, évidemment, quand il a croisé des p'tits Michell il a rechuté :







A regret nous finisssons jusqu'à la dernière goutte notre caipirinha chez La fille d'Ipanema ...

mercredi 28 septembre 2011

Rio back

Le Christ de nuit - J'ai bougé

Il fait pas froid pourtant mais je bougea : la peur sans doute, en plein dans le bruyant Botafogo..

On va pas se mentir...

On va pas vous raconter qu'on a eu des aventures trépidantes avec des autochtones agressifs, non... Franchement ça fait 2 jours qu'on fout absolument rien !
Buzios est une ville balnéaire consacrée au rien-foutrage et ça nous va assez bien pour clore ce modeste séjour.


 Donc à part porter nos valises dans une autre chambre qui a une meilleure vue, passe ke bon, on est des cons de français des clients exigeants, on a donc fait un peu de shopping (fuyez la mode brésilienne où acceptez de passer pour une fille de joie à Paris...), beaucoup de plage, et en grands intellectuels on s'est dit que nos journées ne pouvaient pas être aussi vaines donc on a décidé de prendre des cours d'anglais.
Facile on a trouvé un couple de londoniens en honeymoon qui nous a pas coûté trop cher. La crise...




Olivier en pleine leçon :

Dara : "Olivier, you've a got f** prononciation..."
Olivier : " But Dara... Brian is in the kitchen..."
Gideon : "Ahh !! aahhh !! Those frogeaters..."



Moi j'ai passé un casting pour la télé, mais j'avais pas le bon short...






Bref Bùzios c'est super, on part ce matin, on va petit déj' et on se retrouve à Rio, Ciao !! (end-punchline d'olive)



Par contre, pas un seul message du petit Michou depuis des jours... Ingrate...

dimanche 25 septembre 2011

Hôtel la tête penchée

Après avoir quitté, non sans tristesse, la pousada Pardieiro, les claquettes de l'hôtel dans la valise, nous nous retrouvâmes sur route de Rio, où il en fallut une belle paire de grosses bien mûres, pour rouler au milieu de ces brésiliens fous du volant :)

La pousada le matin

Pour rouler sur les routes défoncées de l'Etat de Rio, faut pas avoir peur des queues de poisson de droite ou de gauche, des doublements en zone de non dépassement ou dans les virages,et  pas ce soucier qu'il y a un gars qui te colle le cul, d'ailleurs ce gars, quoique tu fasses, tu n'y penses pas, tu l'emmerdes. Tu comptes 450 kms de route côtière (BR 101), égale à peu près 800 kms.

On passe devant l'embarcadère pour Ilha grande, Aude chouine gentiment, et on se restaure au Mac Donald d'une ville à la Prime (Nevada).

Aude se demandant c'est quoi cette frite

On passe Rio et le Ponte Rio-Niterói de 13,3 km, séparant le Rio Grande do Norte et le Rio Grande do Sul (merci wiki), en demandant notre chemin à quelques sympathiques vendeurs d'éthanol (Petrobras, Esso, Shell), pour arriver à Armação dos Búziosou ou Buzios la bouseuse. La traduction est approximative, tout du moins il nous semble quand nous entrons dans la ville-village.

Nous arrivons enfin à l'hôtel Hibiscus les Pinsons, que j'ai vulgairement appelé en titre: hôtel de la tête penchée... Et pourquoi qu'il s’appelle l'hôtel de la tête penchée ? Parce que pour voir la mer, il faut pencher la tête !

Les pinsons ne sont pas loin

Sur cette photo prise dans la soirée par exemple, on peut pas voir la mer parce que j'ai pas penché la tête. Et puis, quand bien même, on verrait la mer au travers des branchages de ces crétins d'hibiscus qui sentent pas.

Mais, après avoir mangé au son d'une musique lounge, dans un restaurant d'allure portugaise, en bout du coin de la rua das Pedras, un steak, une salade, des frites, un suprême de poulet pané et le même accompagnement pour Aude,deux verres de vin rouge et une caïpirinha à 6 R$ en plus pour moi, on se réconcilie tout de suite avec Brigitte, qu'on check d'un "Brigitte Bardot, Bardot - Brigitte c'est trop, c'est trop", en remontant la Orla du même nom.


Je vais me coucher, bouffé par les moustiques, demain ça sera beau.


(des chiens hurlent)




samedi 24 septembre 2011

Transformation...

.. en cours.
Pied droit : encore parisien
Pied gauche : déjà carioca !












En aventuriers du Brasilou, on a posé notre barque et hop, à l'assaut de la jungle ! 










Avec des obstacles à franchir pour aller quérir notre modeste pitance du jour... 
Et des animaux sauvages !





Les rues, à maîtriser, sont (très) pavées...





... de bohneur ! Mais c'est dur de ne pas se tordre les pieds.


Heureusement, tous les jours, on se fait livrer des vitamines, pour tenir le coup...





On vit dans/avec la nature et c'est ça qu'est beau ! d'ailleurs on se lave dehors dans un modeste bassinet. Exit la luxueuse vie parisienne, aujourd'hui il nous en faut peu pour être heureux.








Mais il nous manque quand même un animal sauvage dans notre vie...



Spéciale dédicace à Michell :))



Viva Brasil !!!!!!!!!!!!!!